Sortie en 1993 Doom est un FPS dans lequel vous incarnez un Marine spatial (surnommé plus tard le Doom Slayer) envoyé sur une base martienne où des expériences ont ouvert des portails vers l'Enfer, libérant des hordes de démons. Bon, le scénario ne fait pas forcément rêver mais techniquement ce jeux a popularisé les graphismes en pseudo-3D et l'utilisation d'éclairages dynamiques à tel point que certains jeux sont devenus des "doom-like", utilisé à l'époque pour désigner les FPS.

Doom sur PDF

Un développeur a réussi à adapter Doom sur un fichier PDF. Bon, on ne peut pas dire qu'il sera facile de jouer comme nous le faisions à l'époque. Si c'est votre idée, il sera aisé de trouver des jeux en ligne sur Google. Ici c'est plus l'exploit technique associé à la dédicace vis à vis de ce jeux intemporel qu'il faut souligner.

Découvrir le jeux

Dans l'univers des jeux vidéos, le speedrun est devenu un phénomène à part entière. Cette pratique qui consiste à finir un jeu le plus rapidement possible est de plus en plus populaires.

Au-delà des performances de vitesse, certains joueurs choisissent d'ajouter des contraintes particulières à leurs runs pour rendre l’expérience encore plus complexe. Parmi ces défis, l’un des plus fascinants est de finir un jeu vidéo sans jamais appuyer sur la touche de saut. Ce concept, démontre l’inventivité et la maîtrise des joueurs qui cherchent sans cesse à repousser les limites du possible dans un jeux vidéo, offrant ainsi un allongement de la durée de vie d'un jeux pour le plus grand bonheur des maisons d'édition.

Depuis quand ça existe ?

Le speedrun serait né dans les années 1990 avec des jeux comme Doom et Super Mario Bros... et depuis des communautés entières se sont formées autour de cette pratique, partageant des astuces, des glitches (erreurs dans le code du jeu) et des stratégies pour maximiser la vitesse.

La satisfaction derrière le défi et l'aspect communautaire

Pour beaucoup, il s'agit d’un défi personnel, une manière de repousser...

La conception d'oeuvre numérique est relativement récente et l'évolution des pratiques, des outils est si rapide, qu'elles deviennent rapidement obsolètes à tel point que certains jeux ou logiciels sont considérés comme abandonnés. C'est à dire qu'ils ne sont plus en vente ou mis à jour par l'éditeur ou l'ayant droit, parfois même parce que celui-ci n'existe plus.

Certains utilisateurs prennent donc des libertés en utilisant, reproduisant et partageant gratuitement des jeux vidéos dans un but de sauvegarde du patrimoine vidéo ludique. Cependant, légalement tant qu'aucune autorisation explicite des ayants droit de les proposer en libre téléchargement n'est donné, cette pratique n'est pas autorisée.

Pourtant les jeux n'étant plus supporté par leurs ayant droits et plus proposé à la vente, ils n'apportent plus de bénéfice. Le fait de les proposer en libre té...